Le Superbowl de Bad Bunny agace le gouvernement américain

On n’en fini plus d’entendre parler de Bad Bunny. Le chanteur portoricain est de nouveau la cible du gouvernement américain. Un conseiller, proche de Donald Trump, a annoncé que la police de l’immigration serait bien présente lors du concert de Benito au Superbowl l’année prochaine. Car oui, Bad Bunny assurera le show de la mi-temps de la finale de NFL en 2026, au grand dam du gouvernement américain, le chanteur portoricain étant ouvertement pro-immigration, et encore plus dans son nouvel album Debi Tirar Mas Fotos.

Cet album, Bad Bunny compte bien le défendre sur scène lors d’une grande tournée mondiale, après ses trente date de résidence dans son pays natal. Mais Benito a bien fait comprendre qu’il ne se produirait pas aux États-Unis, par peur que la police de l’immigration ne vienne interpeller son public et l’expulser. Le manque à gagner est énorme pour les États-Unis, territoire sur lequel les différentes tournées de Bad Bunny ont déjà généré une très grande manne financière.

S’il ne se produira pas aux États-Unis pour le moment, Bad Bunny a tout de même accepté de jouer pour une unique date au Superbowl. Une façon pour lui de faire la promotion de son discours qui alerte sur la situation des migrants, tout en s’assurant que le public présent au concert ne risque rien, puisque le stade sera normalement surtout rempli de spectateurs de football américain !