Jennifer Lopez : le métier étonnant qu'elle a failli faire !

28 novembre 2018 à 15h00 par Aurélie AMCN

Enfant, Jennifer Lopez avait un rêve : devenir artiste. Mais si elle n'avait pas percé dans le show-business, elle savait déjà où elle aurait fait carrière. C'est beaucoup moins glamour que la musique, le cinéma et la danse...

LATINA
Crédit : Jennifer Lopez

Jennifer Lopez est l’une des plus grandes stars de la planète. Entre la musique, la danse, le cinéma et la télévision, elle est partout. Elle sera d’ailleurs très prochainement de retour les salles obscures avec le film Second Act (Seconde Chance, en français) dans lequel elle incarne Maya, une quarantenaire employée dans une grande enseigne américaine, qui rêve de changer de vie. Après avoir menti sur son CV, elle va intégrer une grande société de cosmétiques située en plein cœur de Manhattan (bande-annonce ci-dessous). À l’occasion d’une conférence de presse organisée pour présentation du film à New-York, Jennifer Lopez est longuement revenue sur ses débuts dans le show-business. Et autant dire, qu’elle n’en garde pas de très bons souvenirs… 

J-Lo se souvient avoir reçu de nombreuses critiques : « Au début de ma carrière, je me sentais vraiment mal à l’aise (…). J’assurais et j’entendais les gens dire : ‘’Elle ne sait pas chanter, elle ne sait pas danser, elle ne sait pas jouer la comédie. Elle a un joli visage, mais elle a un gros cul’’. J’ai commencé à douter et à penser : ‘’Oui, ils ont raison’’. Et cela m’a fait très mal pendant pas mal de temps ». 

Mais Jennifer Lopez s’est battue pour atteindre son objectif et surtout pour réaliser ses rêves. « Je ne pouvais pas me permettre de laisser cela définir qui j’étais. Je me suis alors dit que j’allais sortir un autre album, faire une autre chanson, faire un autre film (…). Et je l’ai fait. Et j’ai continué à le faire. J’ai travaillé plus dur que tout le monde. J’ai commencé à croire en moi-même », raconte-t-elle. 

Pourtant, si elle n’avait pas percé dans l’industrie musicale ou dans le cinéma, J-Lo aurait fini employée au guichet de la banque située juste au bout de sa rue dans le Bronx, tout comme y travaillait déjà une de ses tantes. Un avenir tout tracé qui ne la faisait pas tant rêvé que ça : « Citibank était juste en bas de chez moi et je me suis dit que, peut-être, j’irai travailler dans cette banque. Quand j’étais à l’école, j’y pensais tout le temps (…), comme si le Bronx allait être toute ma vie ».