Ronaldo pousse un coup de gueule contre la presse !

22 mai 2017 à 15h02 par Ludo

Alors que les supporters du Réal Madrid sautent de joie, le joueur portugais règle ses comptes.

LATINA

Dimanche soir, la célèbre équipe de foot de Madrid entrait dans l’histoire après sa victoire contre Malaga. Pourtant, son attaquant Cristiano Ronaldo a poussé un méchant coup de gueule. Sacré champion d'Espagne pour la deuxième fois avec le Real Madrid, dimanche, Cristiano Ronaldo s'est emporté à l'issue de la rencontre qui se déroulait en Andalousie. Voici ses propos sans filtre mais avec un petit bip pour les âmes sensibles : « Les gens parlent de moi comme si j'étais de la m... et cela me dérange. Vous (la presse) dites des choses de "Cris" qui ne sont pas vraies ». Vous avez repéré le petit bip ? Vous avez aussi noté comme nous que le footballeur parle de lui à la troisième personne. C’est ce qu’on appelle en France le syndrome Alain Delon. Visiblement ça existe aussi en Espagne et au Portugal.

Toujours est-il que CR7, c’est comme ça qu’on le surnomme avait l’air très agacé. Ronaldo était à ce moment là interrogé sur son attitude lors d’un précédent match mercredi dernier face au Celta Vigo, une autre équipe espagnole. Sur des images de cette rencontre, on voyait le joueur Portugais mimer le geste de tenir une valise, comme pour accuser les joueurs du Celta Vigo d'avoir reçu des «maletines» («mallettes»), ces dessous-de-table que certains acteurs du football espagnol verseraient aux équipes pour entretenir leur motivation face à un adversaire à battre. Réponse de l’intéressé : "Cela me met en colère et c'est pour ça que je ne lis pas la presse et que je ne regarde pas la télévision, sinon je n'aurais plus de vie", a poursuivi le champion d'Europe portugais. "Je vois tellement de gens qui parlent en mal de moi, que les gens ne savent pas la réalité des choses et ils parlent de moi comme si j'étais un délinquant et je ne faisais pas les choses bien. "

CR7 a regretté que ces critiques fassent du mal à ses proches. "Je ne suis pas un saint, je l'admets, mais je ne suis pas non plus le démon que beaucoup de gens croient que je suis, s'est-il emporté. "Je n'aime pas ce genre de choses parce que j'ai une famille, une mère, un fils et je n'aime pas qu'on dise des bêtises.» Visiblement, la famille compte encore plus que le foot pour Cristiano Ronaldo.