Un nouveau pensionnaire à l’Elysée !

28 août 2017 à 13h16 par Maud Tambellini

Quel que soit son bord politique, il y en a un qui devrait mettre tout le monde d'accord. Tout noir, âgé d'à peine deux ans, Nemo vient de faire son entrée au palais présidentiel.

LATINA
Crédit : DR

Il vient de la SPA

Beaucoup moins polémique qu’a pu l’être au départ la différence d’âge entre le couple, on l’a appris dans la matinée, le Président de la République Emmanuel Macron et son épouse ont adopté ce week-end à la SPA un chien. En l’occurrence un mâle griffon croisé avec un labrador qui n’aurait pas plus de 2 ans.

Le nouveau toutou de l’Elysée s’appelle Nemo, alors d’abord parce que nous sommes dans l’année des N pour les noms de chiens. En prime, cela ferait allusion au roman 20 000 lieues sous les mers de jules Verne, dont le chef d’Etat serait fan.

A noter que le couple avait déjà un chien avant l’élection d’Emmanuel Macron, un dogue argentin nommé Figaro. Lui est resté au Touquet dans la maison familiale avec la fille de Brigitte Macron.

Une longue tradition de labrador

Nemo vient succéder à Philaé, le labrador femelle qu’avait reçu en cadeau François Hollande de la part de la Fédération des anciens combattants français de Montréal en 2014. La petite chienne avait beaucoup fait parler d’elle à ses débuts, ayant souillé de nombreux tapis de l’Elysée avant d’être propre !

En tout cas le labrador comme chien présidentiel est une longue tradition en France. Le plus connu restant le labrador de François Mitterrand qui a passé deux septennats à l’Elysée et qui dispose même de sa propre statue.

Et à chaque pays son chien puisque la Reine d’Angleterre est elle adepte des corgis, ces chiens connus pour leur postérieur proéminent. En revanche aux Etats-Unis, pas de race préférée. Dans l’histoire, il y a eu autant des Cavalier King Charles que des Scottish Terrier.

Néanmoins Donald Trump ne faisant rien comme tout le monde, aux dernières nouvelles le président américain n’avait pas encore adopté de chien officiel, risquant de mettre fin à une tradition vieille de près de 120 ans outre-Atlantique…