Barack Obama et Nicolas Sarkozy vendeurs de glaces !

21 juillet 2017 à 8h00 par Ludo

C'est la saison des vendeurs de glaces sur la plage ou des pompistes sur l'autoroute. Ces petits jobs étudiants qui rendent bien service et qu'ont aussi exercé de grands hommes politiques, comme Barack Obama, Nicolas Sarkozy ou Jacques Chirac.

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Alors qu'il était encore étudiant en maîtrise de droit, le petit Nicolas Sarkozy s'est fait embaucher comme vendeur de glaces, raconte Le Point. Il travaillait à l’époque à La Sorbetière, à Neuilly, au 24 rue Madeleine Michelis. Allez enquêter sur place si vous voulez plus d’infos. À l’époque, sa mère, qui a quitté son mari et s'est installée en banlieue, discutait régulièrement avec la femme du patron. C'est elle qui a décroché ce job pour son fils. Mais non on ne peut pas vraiment appeler ça du piston.

Décidemment, être vendeur de glaces peut mener loin. Un article de Business Insider retrace l'été 1978 de Barack Obama. À 16 ans, l'ancien président américain travaillait chez Baskin-Robbins, un glacier de Honolulu sur l’archipel d’Hawaï d’où est originaire Barack Obama. « Mon premier job n'était pas très glamour. Mais il m'a appris certaines règles : la responsabilité, le travail et à savoir jongler entre son travail, ses amis, sa famille et l'école. » Voilà un bon conseil à répéter tous les jours à vos enfants s’ils passent l’été devant la télé à manger … des glaces !

De son côté Jacques Chirac s’est essayé lui aussi aux jobs d’été , mais ça remonte à loin. En 1952, il part aux États-Unis pour suivre une « summer school » à Harvard, selon Les Échos Start. Pour financer sa formation, il est employé comme plongeur dans la chaîne de fast-food Howard Johnson’s à Boston. Une enseigne disparue aujourd'hui. Rendez-vous compte qu’à l’époque les fasts foods n’existaient même pas en France.

Enfin, notre Ministre de l’Économie actuel, Bruno Lemaire a lui travaillé comme pompiste pendant l’été. Il confie qu’il avait besoin de se payer ses vacances et qu’il n’a pas hésité une seule seconde à se présenter à la station service. Espérons que ça ne lui donne pas envie d’augmenter encore le prix du carburant en France, pour faire plaisir à son patron, Emmanuel Macron.